Sur le banc de l’atelier pour un projet privé : une montre de gousset Doxa, à échappement à ancre. Sur le couvercle protecteur on peut lire “Ancre ligne droite et “levées visibles”, ce qui ne veut pas dire grand chose. Mais aussi “15 rubis” alors que le mouvement n’en compte que 11, et “double plateau” ce qui n’a rien d’extraordinaire. Mais il faut bien écrire quelque chose d’alléchant – même si c’est faux – sur les couvercles brillants pour que l’acheteur se décide à ouvrir son portefeuille…
1. Le démontage
Rien de particulier à signaler ici. De l’huile partout, ce qui est mieux que pas d’huile. Par endroits elle a séché, ce qui indique que la montre n’a pas vu l’horloger depuis longtemps.
2. Réparations
L’aiguille des heures avait perdu sa pointe. Il était plus logique d’en ajouter une nouvelle plutôt que de changer tout le jeu d’aiguilles. Ainsi les pièces d’origines sont conservées au maximum.
3. Le remontage
Le balancier posé et ça tourne immédiatement, même avec peu de remontage.4. Photos finales
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