Révision périodique de ce mouvement ETA 7750 avec une complication « fly-back ». La fonction chronographe ne marche plus comme il le faut.


Démontage
Je garde une photo de chaque étape du démontage. Cela me permettra de compléter les lacunes de la documentation d’origine lors du remontage. Ci-dessous quelques photos de la séquence.
Sous le cadran on trouve les disques des quantièmes.
La planche de quantième révèle les roues d’heure, de minuterie ainsi que les roues entraîneuses de l’étoile des jours et de l’indicateur de quantième.
Les roues d’inversion et de réduction restent collées au pont du dispositif automatique. Sur la platine les marteaux et l’embrayage actionnant le pignon oscillant.
Sous le pont de barillet et de rouage, le train de roues.
Les 110 pièces du mouvement et le cadran, aiguilles, boitier et bracelet.
Remontage
Rien de particulier à signaler, si ce n’est la relative complexité de la fonction chronographe. L’embrayage par un pignon oscillant n’est pas la plus pratique à remonter.
Remontage en cours, côté cadran.
Remontage en cours, côté balancier.
Remontage en cours. Balancier posé.
Montage du pont de chronographe, sur lequel viennent prendre place le marteau, l’embrayage et la roue d’inversion. Les roues de chronographe et de compteur de minutes sont aussi en place.
Tout le montage de l’étape précédente est tenu en place par le pont du dispositif automatique. Il ne manque que la masse oscillante qui sera posée après emboitage du mouvement.
Positionnement des roues entraîneuses pour que le changement de quantième et de jour de semaine soient synchronisés.
Pose des indicateurs de quantième et jours de semaine. Lubrification des sautoirs.
Le cadran retrouve sa place.
Le contrôle de la bonne fonction du chronographe et des sauts de quantième et jour de semaine marquent la fin de l’étape de remontage.
L’aiguille du chronographe est délicate à poser. Elle doit revenir parfaitement à sa position 12h lors de la remise à zéro.

Photos finales




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